Après avoir obtenu, bon an mal an, son diplôme à l’École des arts décoratifs de Paris, Frédéric Laurent se lance sur le marché du travail en tant qu’illustrateur. Malgré ce judicieux choix de carrière, et contre toute attente, il ne reçoit pas instantanément amour, gloire et beauté.
Se rendant à l’évidence, il prend conscience qu’il va falloir être patient et se remet au travail. Il réalise affiches, décors, story-boards ainsi que de chouettes surveillances de nuit dans des hôtels.
Se faisant appeler par les rares personnes qui acceptent de le faire : ‘‘le nouveau Sisyphe’’, Frédéric Laurent persiste à raconter des histoires dessinées.

Bibliographie